A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères thématiques... |
Catégories



Bénéfices non contraceptifs des contraceptions. RPC contraception CNGOF / L. AMAT in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE, Vol. 46 - N° 12 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Bénéfices non contraceptifs des contraceptions. RPC contraception CNGOF : Recommandations pour la pratique clinique Titre original : Additional non-contraceptive effects of contraception : CNGOF contraception guidelines Type de document : Article de périodique Auteurs : L. AMAT, Auteur ; A. BULACH, Auteur ; M. LECLERCQ, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp.883-888 Langues : Français Anglais Catégories : CANCER
CONTRACEPTION HORMONALE
CONTRACEPTION INTRA-UTERINE
DISPOSITIF INTRA-UTERIN
DYSMENORRHEE
EFFETS SECONDAIRES
ENDOMETRIOSE
MENORRAGIEIndex. décimale : 23 Contraception Résumé : Les contraceptions hormonales et intra-utérines permettent d’assurer globalement la sécurité contraceptive des femmes. Outre cet effet recherché, des effets bénéfiques supplémentaires peuvent être utilisés, et l’information fournie aux utilisatrices pour une meilleure connaissance des différents moyens au moment du choix contraceptif. Parmi les bénéfices des contraceptions œstro-progestatives, observés quelle que soit la voie d’administration, la diminution des dysménorrhées et des ménorragies, la diminution du risque de récidive d’une endométriose opérée, des kystes fonctionnels ovariens, des pathologies bénignes du sein et de l’utérus sont documentés. Une réduction du risque de cancer de l’ovaire, y compris chez les femmes à risque génétique, de l’endomètre, et du côlon est démontrée. Cet effet protecteur est maintenu au long cours après l’arrêt de la contraception. Concernant les contraceptions progestatives, les effets bénéfiques non contraceptifs sont peu évidents. Il n’y a que peu d’études et leur niveau de preuve est faible. Surtout, il n’est guère possible de déterminer à l’avance quelles patientes pourraient éventuellement en bénéficier, la réaction, notamment sur les hémorragies, pouvant être contraire à celle recherchée. Le DIU au lévonorgestrel a des effets bénéfiques démontrés sur les ménorragies, les dysménorrhées, l’endométriose. L’action protectrice des DIU au cuivre vis-à-vis des cancers de l’endomètre et du col de l’utérus est démontrée dans la littérature avec un bon niveau de preuve.
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 46 - N° 12 (Décembre 2018) . - pp.883-888[article] Bénéfices non contraceptifs des contraceptions. RPC contraception CNGOF = Additional non-contraceptive effects of contraception : CNGOF contraception guidelines : Recommandations pour la pratique clinique [Article de périodique] / L. AMAT, Auteur ; A. BULACH, Auteur ; M. LECLERCQ, Auteur . - 2018 . - pp.883-888.
Langues : Français Anglais
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 46 - N° 12 (Décembre 2018) . - pp.883-888
Catégories : CANCER
CONTRACEPTION HORMONALE
CONTRACEPTION INTRA-UTERINE
DISPOSITIF INTRA-UTERIN
DYSMENORRHEE
EFFETS SECONDAIRES
ENDOMETRIOSE
MENORRAGIEIndex. décimale : 23 Contraception Résumé : Les contraceptions hormonales et intra-utérines permettent d’assurer globalement la sécurité contraceptive des femmes. Outre cet effet recherché, des effets bénéfiques supplémentaires peuvent être utilisés, et l’information fournie aux utilisatrices pour une meilleure connaissance des différents moyens au moment du choix contraceptif. Parmi les bénéfices des contraceptions œstro-progestatives, observés quelle que soit la voie d’administration, la diminution des dysménorrhées et des ménorragies, la diminution du risque de récidive d’une endométriose opérée, des kystes fonctionnels ovariens, des pathologies bénignes du sein et de l’utérus sont documentés. Une réduction du risque de cancer de l’ovaire, y compris chez les femmes à risque génétique, de l’endomètre, et du côlon est démontrée. Cet effet protecteur est maintenu au long cours après l’arrêt de la contraception. Concernant les contraceptions progestatives, les effets bénéfiques non contraceptifs sont peu évidents. Il n’y a que peu d’études et leur niveau de preuve est faible. Surtout, il n’est guère possible de déterminer à l’avance quelles patientes pourraient éventuellement en bénéficier, la réaction, notamment sur les hémorragies, pouvant être contraire à celle recherchée. Le DIU au lévonorgestrel a des effets bénéfiques démontrés sur les ménorragies, les dysménorrhées, l’endométriose. L’action protectrice des DIU au cuivre vis-à-vis des cancers de l’endomètre et du col de l’utérus est démontrée dans la littérature avec un bon niveau de preuve. Prise en charge des dysménorrhées / M. LIBARLE in REVUE MEDICALE DE BRUXELLES, Vol. 39 - N° 4 (Septembre 2018)
[article]
Titre : Prise en charge des dysménorrhées Type de document : Article de périodique Auteurs : M. LIBARLE, Auteur ; P. SIMON, Auteur ; V. BOGNE, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp.264-272 Langues : Français Anglais Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE
ASPECTS PHYSIOPATHOLOGIQUES
DYSMENORRHEE
FACTEURS DE RISQUE
PRISE EN CHARGE
RECOMMANDATIONS
STRATEGIE THERAPEUTIQUE
TRAITEMENTIndex. décimale : 31 Biologie de la reproduction Résumé : Les dysménorrhées représentent un des motifs de consultation les plus fréquents en gynécologie. Les répercussions sociales et économiques qu’elles engendrent en font un phénomène de santé publique. Leur prise en charge n’est pas encore optimale et les dysménorrhées altèrent toujours la qualité de vie de nombreuses patientes. Les dysménorrhées primaires, sans cause organique sous-jacente, sont le résultat d’une hyper contractilité myométriale, d’une vasoconstriction artériolaire et d’une hypoxie tissulaire. Les dysménorrhées secondaires peuvent faire intervenir les mécanismes physiopathologiques des dysménorrhées primaires mais sont surtout l’expression d’une pathologie gynécologique sous-jacente. Si la physiopathologie des dysménorrhées primaires est de mieux en mieux connue, les études s’intéressent à présent aux options thérapeutiques pour améliorer la prise en charge de ces patientes souvent jeunes. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens et la contraception orale restent les molécules recommandées en première intention mais leur efficacité peut être potentialisée par des traitements complémentaires comme l’application locale de chaleur ou la pratique régulière d’exercices physiques. Des premiers résultats concernant d’autres thérapies complémentaires non conventionnelles, comme la consommation de gingembre, sont très encourageants et doivent être renforcés pour intégrer les recommandations de la prise en charge des dysménorrhées primaires.
in REVUE MEDICALE DE BRUXELLES > Vol. 39 - N° 4 (Septembre 2018) . - pp.264-272[article] Prise en charge des dysménorrhées [Article de périodique] / M. LIBARLE, Auteur ; P. SIMON, Auteur ; V. BOGNE, Auteur . - 2018 . - pp.264-272.
Langues : Français Anglais
in REVUE MEDICALE DE BRUXELLES > Vol. 39 - N° 4 (Septembre 2018) . - pp.264-272
Catégories : ACTIVITE PHYSIQUE
ASPECTS PHYSIOPATHOLOGIQUES
DYSMENORRHEE
FACTEURS DE RISQUE
PRISE EN CHARGE
RECOMMANDATIONS
STRATEGIE THERAPEUTIQUE
TRAITEMENTIndex. décimale : 31 Biologie de la reproduction Résumé : Les dysménorrhées représentent un des motifs de consultation les plus fréquents en gynécologie. Les répercussions sociales et économiques qu’elles engendrent en font un phénomène de santé publique. Leur prise en charge n’est pas encore optimale et les dysménorrhées altèrent toujours la qualité de vie de nombreuses patientes. Les dysménorrhées primaires, sans cause organique sous-jacente, sont le résultat d’une hyper contractilité myométriale, d’une vasoconstriction artériolaire et d’une hypoxie tissulaire. Les dysménorrhées secondaires peuvent faire intervenir les mécanismes physiopathologiques des dysménorrhées primaires mais sont surtout l’expression d’une pathologie gynécologique sous-jacente. Si la physiopathologie des dysménorrhées primaires est de mieux en mieux connue, les études s’intéressent à présent aux options thérapeutiques pour améliorer la prise en charge de ces patientes souvent jeunes. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens et la contraception orale restent les molécules recommandées en première intention mais leur efficacité peut être potentialisée par des traitements complémentaires comme l’application locale de chaleur ou la pratique régulière d’exercices physiques. Des premiers résultats concernant d’autres thérapies complémentaires non conventionnelles, comme la consommation de gingembre, sont très encourageants et doivent être renforcés pour intégrer les recommandations de la prise en charge des dysménorrhées primaires. Signes spécifiques cliniques évocateurs de l'endométriose (hors adénomyose) et questionnaires de symptômes, de douleur et qualité de vie / C. HUCHON in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE, Vol. 46 - N° 3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Signes spécifiques cliniques évocateurs de l'endométriose (hors adénomyose) et questionnaires de symptômes, de douleur et qualité de vie Titre original : Specific clinical signs suggestive of endometriosis (excluding adenomyosis) and questionnaires of symptoms, pain and quality of life Type de document : Article de périodique Auteurs : C. HUCHON, Auteur ; G. AUBRY, Auteur ; S. PLOTEAU, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp.168-176 Langues : Français Anglais Catégories : ASPECTS CLINIQUES
DIAGNOSTIC
DOULEUR
DYSMENORRHEE
DYSPAREUNIE
ENDOMETRIOSE
FACTEURS DE RISQUE
QUALITE DE VIE
QUESTIONNAIRE
SYMPTOMESIndex. décimale : 314 Affections des organes génitaux Résumé : En cas de consultation pour douleurs pelviennes chroniques ou suspicion d'endométriose, il est recommandé d'évaluer la douleur (intensité, retentissement) et de rechercher les symptômes évocateurs et localisateurs de l'endométriose. Les principaux symptômes évocateurs et localisateurs de l'endométriose sont : les dysménorrhées intenses, les dyspareunies profondes, les douleurs à la défécation à recrudescence cataméniale, les signes fonctionnels urinaires à recrudescence cataméniale et l'infertilité.
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 46 - N° 3 (Mars 2018) . - pp.168-176[article] Signes spécifiques cliniques évocateurs de l'endométriose (hors adénomyose) et questionnaires de symptômes, de douleur et qualité de vie = Specific clinical signs suggestive of endometriosis (excluding adenomyosis) and questionnaires of symptoms, pain and quality of life [Article de périodique] / C. HUCHON, Auteur ; G. AUBRY, Auteur ; S. PLOTEAU, Auteur . - 2018 . - pp.168-176.
Langues : Français Anglais
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 46 - N° 3 (Mars 2018) . - pp.168-176
Catégories : ASPECTS CLINIQUES
DIAGNOSTIC
DOULEUR
DYSMENORRHEE
DYSPAREUNIE
ENDOMETRIOSE
FACTEURS DE RISQUE
QUALITE DE VIE
QUESTIONNAIRE
SYMPTOMESIndex. décimale : 314 Affections des organes génitaux Résumé : En cas de consultation pour douleurs pelviennes chroniques ou suspicion d'endométriose, il est recommandé d'évaluer la douleur (intensité, retentissement) et de rechercher les symptômes évocateurs et localisateurs de l'endométriose. Les principaux symptômes évocateurs et localisateurs de l'endométriose sont : les dysménorrhées intenses, les dyspareunies profondes, les douleurs à la défécation à recrudescence cataméniale, les signes fonctionnels urinaires à recrudescence cataméniale et l'infertilité. Traitements de l'adénomyose (hors désir de grossesse) / L. PELAGE in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE, Vol. 43 - N° 5 (Mai 2015)
[article]
Titre : Traitements de l'adénomyose (hors désir de grossesse) Titre original : Treatment of adenomyosis (excluding pregnancy project) Type de document : Article de périodique Auteurs : L. PELAGE, Auteur ; S. FENOMANANA, Auteur ; J.L. BRUN, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : pp.404-411 Langues : Français Anglais Catégories : DYSMENORRHEE
ENDOMETRIOSE
HYSTERECTOMIE
MENORRAGIE
PATHOLOGIE
TRAITEMENT
TRAITEMENT CHIRURGICAL
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX
UTERUSIndex. décimale : 314 Affections des organes génitaux Résumé : Cette revue de la littérature a pour objectif d’établir une mise à jour des modalités thérapeutiques de l’adénomyose en dehors d’un désir de grossesse. L’adénomyose est une pathologie utérine bénigne fréquente et sous-estimée en termes de prévalence dont la physiopathologie est de mieux en mieux connue. Le diagnostic repose sur des points d’appel cliniques qui sont les ménométrorragies ainsi que les dysménorrhées essentiellement. L’imagerie est une aide précieuse au diagnostic, l’échographie endovaginale et l’imagerie par résonance magnétique en sont les principaux outils. Néanmoins, le diagnostic définitif reste à l’heure actuelle anatomopathologique. Dans le domaine thérapeutique, le traitement le plus efficace demeure l’hystérectomie. Cependant, il s’agit d’un traitement radical coûteux et source de morbidité en comparaison des traitements médico-chirurgicaux conservateurs. La littérature s’est étoffée de plusieurs séries de patientes traitées selon diverses modalités et permet à ce jour un recul sur les différentes options thérapeutiques. Le système intra-utérin au lévonorgestrel a démontré son efficacité seul ou en association aux traitements hystéroscopiques. Les progestatifs oraux, les agonistes à la GnRH constituent des alternatives à court terme, notamment en situation préopératoire. Les traitements conservateurs en cours d’évaluation semblant efficaces sont les thérapies par ultrasons focalisés et des techniques chirurgicales d’exérèse de tissu adénomyomateux. L’embolisation a fait l’objet de plusieurs études et mérite une mise au point particulière. Par ailleurs, plusieurs molécules, telles que les modulateurs des récepteurs de la progestérone et les anti-aromatases, ont été nouvellement étudiées et sont peut-être des traitements d’avenir.
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 43 - N° 5 (Mai 2015) . - pp.404-411[article] Traitements de l'adénomyose (hors désir de grossesse) = Treatment of adenomyosis (excluding pregnancy project) [Article de périodique] / L. PELAGE, Auteur ; S. FENOMANANA, Auteur ; J.L. BRUN, Auteur . - 2015 . - pp.404-411.
Langues : Français Anglais
in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE > Vol. 43 - N° 5 (Mai 2015) . - pp.404-411
Catégories : DYSMENORRHEE
ENDOMETRIOSE
HYSTERECTOMIE
MENORRAGIE
PATHOLOGIE
TRAITEMENT
TRAITEMENT CHIRURGICAL
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX
UTERUSIndex. décimale : 314 Affections des organes génitaux Résumé : Cette revue de la littérature a pour objectif d’établir une mise à jour des modalités thérapeutiques de l’adénomyose en dehors d’un désir de grossesse. L’adénomyose est une pathologie utérine bénigne fréquente et sous-estimée en termes de prévalence dont la physiopathologie est de mieux en mieux connue. Le diagnostic repose sur des points d’appel cliniques qui sont les ménométrorragies ainsi que les dysménorrhées essentiellement. L’imagerie est une aide précieuse au diagnostic, l’échographie endovaginale et l’imagerie par résonance magnétique en sont les principaux outils. Néanmoins, le diagnostic définitif reste à l’heure actuelle anatomopathologique. Dans le domaine thérapeutique, le traitement le plus efficace demeure l’hystérectomie. Cependant, il s’agit d’un traitement radical coûteux et source de morbidité en comparaison des traitements médico-chirurgicaux conservateurs. La littérature s’est étoffée de plusieurs séries de patientes traitées selon diverses modalités et permet à ce jour un recul sur les différentes options thérapeutiques. Le système intra-utérin au lévonorgestrel a démontré son efficacité seul ou en association aux traitements hystéroscopiques. Les progestatifs oraux, les agonistes à la GnRH constituent des alternatives à court terme, notamment en situation préopératoire. Les traitements conservateurs en cours d’évaluation semblant efficaces sont les thérapies par ultrasons focalisés et des techniques chirurgicales d’exérèse de tissu adénomyomateux. L’embolisation a fait l’objet de plusieurs études et mérite une mise au point particulière. Par ailleurs, plusieurs molécules, telles que les modulateurs des récepteurs de la progestérone et les anti-aromatases, ont été nouvellement étudiées et sont peut-être des traitements d’avenir.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Commission communautaire française
CEDIF
Faire une recherche avec Google
pmb