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En 2018, 266.000 personnes vivent en couple avec un conjoint de même sexe / E. ALGAVA in INSEE PREMIERE, N° 1774 (Septembre 2019)
[article]
Titre : En 2018, 266.000 personnes vivent en couple avec un conjoint de même sexe Type de document : Article de périodique Auteurs : E. ALGAVA, Auteur ; S. PENANT, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp.1-4 Langues : Français Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS DEMOGRAPHIQUES
COHABITATION LEGALE
COUPLE
FAMILLES HOMOPARENTALES
FRANCE
HOMOSEXUELS
ILE-DE-FRANCE
NIVEAU D'ETUDESIndex. décimale : 42 Famille Résumé : En 2018, 0,9% des couples cohabitants sont des couples de même sexe. Ainsi, 266.000 personnes vivent avec un partenaire de même sexe. La part de ces couples a augmenté : elle était de 0,6% en 2011.
C’est entre les âges de 25 et 29 ans qu’il est le plus fréquent de vivre avec un partenaire de même sexe pour les femmes (0,9%), et entre 30 et 34 ans pour les hommes (1,1%).
Les couples de même sexe sont plus présents dans les territoires les plus peuplés. La proportion de couples de même sexe est plus élevée en Île-de-France (1,4%), particulièrement à Paris intra-muros (3,7%). Ainsi, 15% des couples d’hommes en France vivent à Paris intra-muros, 7% des couples de femmes, contre 3% de l’ensemble des couples.
Les personnes vivant en couple avec un partenaire de même sexe sont plus diplômées que celles vivant avec un partenaire de sexe différent. Elles appartiennent également à des catégories sociales plus favorisées.
60% des couples de même sexe cohabitants ont contractualisé leur union et 14% vivent avec des enfants, pour l’essentiel des couples de femmes.
in INSEE PREMIERE > N° 1774 (Septembre 2019) . - pp.1-4[article] En 2018, 266.000 personnes vivent en couple avec un conjoint de même sexe [Article de périodique] / E. ALGAVA, Auteur ; S. PENANT, Auteur . - 2019 . - pp.1-4.
Langues : Français
in INSEE PREMIERE > N° 1774 (Septembre 2019) . - pp.1-4
Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS DEMOGRAPHIQUES
COHABITATION LEGALE
COUPLE
FAMILLES HOMOPARENTALES
FRANCE
HOMOSEXUELS
ILE-DE-FRANCE
NIVEAU D'ETUDESIndex. décimale : 42 Famille Résumé : En 2018, 0,9% des couples cohabitants sont des couples de même sexe. Ainsi, 266.000 personnes vivent avec un partenaire de même sexe. La part de ces couples a augmenté : elle était de 0,6% en 2011.
C’est entre les âges de 25 et 29 ans qu’il est le plus fréquent de vivre avec un partenaire de même sexe pour les femmes (0,9%), et entre 30 et 34 ans pour les hommes (1,1%).
Les couples de même sexe sont plus présents dans les territoires les plus peuplés. La proportion de couples de même sexe est plus élevée en Île-de-France (1,4%), particulièrement à Paris intra-muros (3,7%). Ainsi, 15% des couples d’hommes en France vivent à Paris intra-muros, 7% des couples de femmes, contre 3% de l’ensemble des couples.
Les personnes vivant en couple avec un partenaire de même sexe sont plus diplômées que celles vivant avec un partenaire de sexe différent. Elles appartiennent également à des catégories sociales plus favorisées.
60% des couples de même sexe cohabitants ont contractualisé leur union et 14% vivent avec des enfants, pour l’essentiel des couples de femmes.Accouchement à bas risque : mythe ou réalité? / L. GEOFFROY in VOCATION SAGE-FEMME, N° 122 (Septembre-Octobre 2016)
[article]
Titre : Accouchement à bas risque : mythe ou réalité? Type de document : Article de périodique Auteurs : L. GEOFFROY, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp.31-35 Langues : Français Catégories : ACCOUCHEMENT
ANALYSE DE DONNEES
COMPLICATIONS
RISQUEIndex. décimale : 33 Grossesse. Accouchement Résumé : Une grossesse à bas risque est a priori exempte de complications. Une étude a été menée dans une maternité de niveau 3 afin de comparer le taux d'intervention de l'obstétricien au cours des accouchements supposés à bas risque à celui retrouvé lors des accouchements à haut risque. Cette évaluation amène à conclure qu'une définition stricte de ce type de grossesse ne permet pas d'exclure complètement la survenue de complications pendant l'accouchement.
in VOCATION SAGE-FEMME > N° 122 (Septembre-Octobre 2016) . - pp.31-35[article] Accouchement à bas risque : mythe ou réalité? [Article de périodique] / L. GEOFFROY, Auteur . - 2016 . - pp.31-35.
Langues : Français
in VOCATION SAGE-FEMME > N° 122 (Septembre-Octobre 2016) . - pp.31-35
Catégories : ACCOUCHEMENT
ANALYSE DE DONNEES
COMPLICATIONS
RISQUEIndex. décimale : 33 Grossesse. Accouchement Résumé : Une grossesse à bas risque est a priori exempte de complications. Une étude a été menée dans une maternité de niveau 3 afin de comparer le taux d'intervention de l'obstétricien au cours des accouchements supposés à bas risque à celui retrouvé lors des accouchements à haut risque. Cette évaluation amène à conclure qu'une définition stricte de ce type de grossesse ne permet pas d'exclure complètement la survenue de complications pendant l'accouchement. Analyse des taux de césariennes dans le réseau de périnatalité Mypa, pertinence de la classification de Robson / P. RAYNAL in VOCATION SAGE-FEMME, N° 121 (Juillet-Août 2016)
[article]
Titre : Analyse des taux de césariennes dans le réseau de périnatalité Mypa, pertinence de la classification de Robson Titre original : Analysis of the caesarean rate in the MYPA perinatal network, relevance of the Robson classification. Type de document : Article de périodique Auteurs : P. RAYNAL, Auteur ; E. LEBRETON, Auteur ; C. POULAIN, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp.10-15 Note générale : Niveau scientifique. Langues : Français Anglais Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ANALYSE DE PRATIQUE
CESARIENNEIndex. décimale : 33 Grossesse. Accouchement Résumé : Face à l'évolution du taux des césariennes, l'analyse des taux bruts ne suffit pas à une étude fine des pratiques des maternités. La classification de Robson en permet une lecture plus pertinente selon la typologie des patientes accueillies et leur niveau de risque. Note de contenu : Tableau, graphiques, bibliographie.
in VOCATION SAGE-FEMME > N° 121 (Juillet-Août 2016) . - pp.10-15[article] Analyse des taux de césariennes dans le réseau de périnatalité Mypa, pertinence de la classification de Robson = Analysis of the caesarean rate in the MYPA perinatal network, relevance of the Robson classification. [Article de périodique] / P. RAYNAL, Auteur ; E. LEBRETON, Auteur ; C. POULAIN, Auteur . - 2016 . - pp.10-15.
Niveau scientifique.
Langues : Français Anglais
in VOCATION SAGE-FEMME > N° 121 (Juillet-Août 2016) . - pp.10-15
Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ANALYSE DE PRATIQUE
CESARIENNEIndex. décimale : 33 Grossesse. Accouchement Résumé : Face à l'évolution du taux des césariennes, l'analyse des taux bruts ne suffit pas à une étude fine des pratiques des maternités. La classification de Robson en permet une lecture plus pertinente selon la typologie des patientes accueillies et leur niveau de risque. Note de contenu : Tableau, graphiques, bibliographie. Atteintes psychologiques et agressions verbales entre conjoints / C. BURRICAND in INSEE PREMIERE, N° 1607 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Atteintes psychologiques et agressions verbales entre conjoints : Des atteintes plus fréquentes et plus graves à l'encontre des femmes Type de document : Article de périodique Auteurs : C. BURRICAND, Auteur ; L. JAMET, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp.1-4 Langues : Français Catégories : AGRESSIVITE
ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS PSYCHOLOGIQUES
FEMMES
HOMMES
JALOUSIE
VIOLENCE
VIOLENCE VERBALEIndex. décimale : 430 Maltraitance Résumé : Au cours des années 2014 et 2015, 12,7% des femmes et 10,5% des hommes âgés de 18 à 75 ans déclarent avoir subi durant les deux années précédentes des atteintes psychologiques ou des agressions verbales de la part de leur conjoint ou ex-conjoint. Ils ont ainsi été l’objet de manière répétée de comportements dévalorisants, de manifestations de jalousie, d’insultes ou été confrontés à des menaces ou des actes visant à les contrôler.
Ces comportements peuvent relever de conflits conjugaux ou de violences psychologiques. Les femmes sont plus exposées à des atteintes de différentes natures (7,8% contre 5,3% pour les hommes) et les risques pour elles d’être l’objet de violences psychologiques sont plus élevés. Enfin, elles sont plus souvent victimes de violences physiques ou sexuelles. Ces violences s’accompagnent aussi plus fréquemment pour les femmes d’atteintes psychologiques ou d’agressions verbales.
in INSEE PREMIERE > N° 1607 (Juillet 2016) . - pp.1-4[article] Atteintes psychologiques et agressions verbales entre conjoints : Des atteintes plus fréquentes et plus graves à l'encontre des femmes [Article de périodique] / C. BURRICAND, Auteur ; L. JAMET, Auteur . - 2016 . - pp.1-4.
Langues : Français
in INSEE PREMIERE > N° 1607 (Juillet 2016) . - pp.1-4
Catégories : AGRESSIVITE
ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS PSYCHOLOGIQUES
FEMMES
HOMMES
JALOUSIE
VIOLENCE
VIOLENCE VERBALEIndex. décimale : 430 Maltraitance Résumé : Au cours des années 2014 et 2015, 12,7% des femmes et 10,5% des hommes âgés de 18 à 75 ans déclarent avoir subi durant les deux années précédentes des atteintes psychologiques ou des agressions verbales de la part de leur conjoint ou ex-conjoint. Ils ont ainsi été l’objet de manière répétée de comportements dévalorisants, de manifestations de jalousie, d’insultes ou été confrontés à des menaces ou des actes visant à les contrôler.
Ces comportements peuvent relever de conflits conjugaux ou de violences psychologiques. Les femmes sont plus exposées à des atteintes de différentes natures (7,8% contre 5,3% pour les hommes) et les risques pour elles d’être l’objet de violences psychologiques sont plus élevés. Enfin, elles sont plus souvent victimes de violences physiques ou sexuelles. Ces violences s’accompagnent aussi plus fréquemment pour les femmes d’atteintes psychologiques ou d’agressions verbales.
Belgique francophone : une évaluation des "cellules bien-être" en milieu scolaire / C. VANDOORNE in LA SANTE EN ACTION, N° 445 (Septembre 2018)
[article]
Titre : Belgique francophone : une évaluation des "cellules bien-être" en milieu scolaire : Septante-deux écoles se sont dotées d'une "cellule bien-être", sous la houlette de trois ministères Type de document : Article de périodique Auteurs : C. VANDOORNE, Auteur ; M.C. MIERMANS, Auteur ; G. ABSIL, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp.19-21 Langues : Français Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS AFFECTIFS
ASPECTS EDUCATIFS
BIEN-ETRE
ECOLE
EVALUATION
FEDERATION WALLONIE-BRUXELLES
IMAGE DE SOI
MILIEU SCOLAIREIndex. décimale : 5 EDUCATION. FORMATION Résumé : A partir de 2011, la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique francophone) a lancé un dispositif-pilote de "cellules bien-être" dans ses établissements scolaires. Ce dispositif a fait l'objet d'une évaluation. Analyse et résultats.
in LA SANTE EN ACTION > N° 445 (Septembre 2018) . - pp.19-21[article] Belgique francophone : une évaluation des "cellules bien-être" en milieu scolaire : Septante-deux écoles se sont dotées d'une "cellule bien-être", sous la houlette de trois ministères [Article de périodique] / C. VANDOORNE, Auteur ; M.C. MIERMANS, Auteur ; G. ABSIL, Auteur . - 2018 . - pp.19-21.
Langues : Français
in LA SANTE EN ACTION > N° 445 (Septembre 2018) . - pp.19-21
Catégories : ANALYSE DE DONNEES
ASPECTS AFFECTIFS
ASPECTS EDUCATIFS
BIEN-ETRE
ECOLE
EVALUATION
FEDERATION WALLONIE-BRUXELLES
IMAGE DE SOI
MILIEU SCOLAIREIndex. décimale : 5 EDUCATION. FORMATION Résumé : A partir de 2011, la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique francophone) a lancé un dispositif-pilote de "cellules bien-être" dans ses établissements scolaires. Ce dispositif a fait l'objet d'une évaluation. Analyse et résultats. Burnout parental : quel rôle pour la promotion de la santé? / F. KAPALA in EDUCATION SANTE, N° 352 (Février 2019)
PermalinkLa coercition sexuelle perpétrée par la femme : mise à l'épreuve d'un modèle étiologique / G. PARENT in SEXOLOGIES, Vol. 27 - N° 2 (Avril-Juin 2018)
PermalinkLa coercition sexuelle et les violences sexuelles dans la population générale : définition, données disponibles et implications / M. BENBOURICHE in SEXOLOGIES, Vol. 27 - N° 2 (Avril-Juin 2018)
PermalinkDevenir maman avant 20 ans : Quel accompagnement prénatal? / C. BLOCKOUSE
PermalinkDispositif intra-utérin et infections génitales hautes : mythe ou réalité? / T. STRAUB in GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE FERTILITE & SENOLOGIE, Vol. 46 - N° 4 (Avril 2018)
PermalinkDonnées périnatales en Fédération Wallonie-Bruxelles in EDUCATION SANTE, N° 307 (Janvier 2015)
PermalinkDouleur, genre et neuroinflammation : vers l'inégalité des sexes? / N. PILLER in REVUE MEDICALE SUISSE, N° 612 (20 juin 2018)
PermalinkDrogues : vers une prévention et un traitement sensible au genre? / S. SIMONIS in PROSPECTIVE JEUNESSE, N° 84 (Octobre-décembre 2018)
PermalinkElargir la vaccination contre les papillomavirus humains aux garçons : oui mais? / M.C. MIERMANS in EDUCATION SANTE, N° 355 (Mai 2019)
PermalinkEstimation avancée du taux de pauvreté et des indicateurs d’inégalités / F. CORNUET in INSEE ANALYSES, N° 49 (Octobre 2019)
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Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Commission communautaire française
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